Bravo, ce matin, au journal le Parisien qui a réalisé une enquête sur les petits tracas du quotidien…
On en parle pas assez de ces petites tuiles qui nous tombent sur la tête de façon tout à fait inopinée et de façon toute aussi régulière. Selon, cette enquête, réalisée auprès de la population française, c’est le fait de se faire avaler sa carte bancaire par le distributeur de billet qui serait le petit tracas quotidien le plus redouté. Parmi les situations quotidiennes les plus redoutées, on retrouve aussi le fait de descendre les poubelles et de vider la machine à laver. Des tâches ménagères qui sont appréhendées négativement pas 79% des femmes et 44% des hommes. Voilà. Voilà. C’est vrai que ces petits trucs, ils sont légions dans notre vie de tous les jours. Allez ce week-end, il y a bien quelques petits machins qui vous ont énervés. Moi, tenez par exemple, j’ai fait un truc que je déteste faire. Nettoyer le siphon de l’évier de la salle de bain. Beeerk. C’est tout gluant, ça sent l’haleine de crapaud centenaire. C’est le summum de la tâche ménagère que vous repoussez jour après jour, en l’oubliant mystérieusement. En plus, c’est d’un sado-masochisme profond, puisque plus vous attendez, plus ça sent mauvais et plus c’est gluant. Qu’est ce qui a été irritant ce weekend? Ah oui, préparer avec amour un poulet aux ananas d’enfer pour la petite famille et puis se faire entendre dire que le poulet aux ananas, il est quand même meilleur au restaurant chinois. Ah ça, y en a des trucs qui vous chatouillent les susceptibilités, qui vous piquent les narines comme une moutarde prête à vous monter au nez.
Il est important de les cibler ces petits truc , parce que pour certains, il faut se préparer psychologiquement ou sinon on devient fou. Exemple, vous avez déjà mixé à des soirées? Si oui, vous savez comment ça se passe… Vous commencez à mixer vos titres… Vous vous dîtes : « Oui celui-là, il a l’air de bien fonctionner… Ok, après Sunday Bloody Sunday, je vais mettre un Simple Minds, un Depeche Mode puis un New Order, Blue Monday évidemment ». C’était le schéma ce week-end, samedi soir, moi, derrière les platines pour l’anniversaire de François, un cousin de ma femme. Quand vous imaginez ce genre de plan avec votre play-liste qui commence à s’élaborer en fonction de l’intérêt du public pour votre programmation qu’est ce qui se passe? Qu’est ce qui se passe ? Y en a toujours un pour venir vous demander de jouer un titre qui n’a absolument rien à voir avec les enchaînements d’enfer que vous êtes en train de dispenser à la joyeuse bande qui est en train de se trémousser sur le dancefloor. Ben évidemment samedi, c’est arrivé. Un des jeunes convives qui vient se planter en face de la table de mixage. Moi, je suis dans les années 80, à fond. Lui, il tapote sur son GSM puis, il me montre l’écran de son téléphone portable où il est écrit : Sean Paul… Vous vous rendez compte, non seulement ces petits tracas semblent avoir été créés pour nous importuner jusqu’au bout de l’éternité, mais en plus ils se modernisent, ils se plient aux nouvelles technologies pour encore mieux nous faire bisquer… Non ça, on me l’avait jamais fait… L’écran du GSM pour communiquer….Et quoi bientôt certains utiliseront la télépathie magnétique ou d’autres techniques cybernétiques? Je rêve…
Il est important de les cibler ces petits truc , parce que pour certains, il faut se préparer psychologiquement ou sinon on devient fou. Exemple, vous avez déjà mixé à des soirées? Si oui, vous savez comment ça se passe… Vous commencez à mixer vos titres… Vous vous dîtes : « Oui celui-là, il a l’air de bien fonctionner… Ok, après Sunday Bloody Sunday, je vais mettre un Simple Minds, un Depeche Mode puis un New Order, Blue Monday évidemment ». C’était le schéma ce week-end, samedi soir, moi, derrière les platines pour l’anniversaire de François, un cousin de ma femme. Quand vous imaginez ce genre de plan avec votre play-liste qui commence à s’élaborer en fonction de l’intérêt du public pour votre programmation qu’est ce qui se passe? Qu’est ce qui se passe ? Y en a toujours un pour venir vous demander de jouer un titre qui n’a absolument rien à voir avec les enchaînements d’enfer que vous êtes en train de dispenser à la joyeuse bande qui est en train de se trémousser sur le dancefloor. Ben évidemment samedi, c’est arrivé. Un des jeunes convives qui vient se planter en face de la table de mixage. Moi, je suis dans les années 80, à fond. Lui, il tapote sur son GSM puis, il me montre l’écran de son téléphone portable où il est écrit : Sean Paul… Vous vous rendez compte, non seulement ces petits tracas semblent avoir été créés pour nous importuner jusqu’au bout de l’éternité, mais en plus ils se modernisent, ils se plient aux nouvelles technologies pour encore mieux nous faire bisquer… Non ça, on me l’avait jamais fait… L’écran du GSM pour communiquer….Et quoi bientôt certains utiliseront la télépathie magnétique ou d’autres techniques cybernétiques? Je rêve…
Extraits de l'article du Parisien:
"Pour la première fois, l'institut Ipsos, pour le « Parisien » - « Aujourd'hui en France » et les assurances MMA, a enquêté sur leur nature, leur durée et leur importance. Un inventaire à la Prévert qui serait délicieusement surréaliste s'il n'était surtout éminemment familier : de la panne de batterie à la crotte de chien placée sur notre chemin, les tracas sont bel et bien notre lot quotidien. Et sont surtout, ce n'est qu'une demi-surprise, essentiellement féminins... « Si l'on devait dresser le portrait de la personne la plus tracassée en France, ce serait une femme de 25 à 44 ans, qui habite Paris ou une grande agglomération et doit se déplacer », explique Sophie Delcourt, chargée d'étude pour Ipsos. « D'une manière générale, les femmes subissent plus de tracas que les hommes, elles en sont toujours plus contrariées et elles les ressassent plus longtemps. » Les tracas les plus fréquemment cités sont d'ailleurs les tâches ménagères, dont on sait qu'elles leur sont essentiellement dévolues ! Les poubelles qui débordent et les machines à vider enquiquinent 79 % des femmes et 44 % des hommes. Viennent ensuite, à égalité pour les deux sexes, les problèmes de stationnement (40 % des sondés), les pertes de temps dans les démarches administratives (ce guichet qui ferme juste sous votre nez après une heure de queue !), les embouteillages et les anicroches sur la voie publique (cette bordée de jurons du scooter que vous avez failli renverser sur la voie de bus...). (...) La pire contrariété, selon eux ? C'est - dans un cri du coeur unanime- de se faire avaler sa carte bancaire par le distributeur ! Situation d'impuissance et dépendance absolue si l'on en croit le psychiatre Frédéric Chapelle, 64 % des femmes et 47 % des hommes considèrent cette éventualité comme un aléa qu'ils auraient du mal à digérer... (...)"
2 Comments:
il y a aussi la douche qui est bouchée au moment ou on va prendre sa douche, ou la perceuse en panne quand on a décidé de bricoler... le pire s'installer confortablement dans son fauteuil favori pour entamer son dernier roman et se rendre compte qu'on a oublié ses lunettes sur sa table de nuit deux étages plus haut... ca sent le vécu non... ?
"c’est le fait de se faire avaler sa carte bancaire par le distributeur de billet qui serait le petit tracas quotidien le plus redouté" NON! c'est qd la carte et le ticket de l'opération sortent mais pas les sous! hahhhhhhhhh grrrrrrrr et koiski faut faire dans ces cacas-là? attendre devant l'appareil ou faire un scandale dans l'agence? ... le scandale a marché : j'ai pas été débitée du retrait.
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